Armes du Dauphin de France |
Ce blog est un espace dédié aux expositions, il fait parti de l'association Ch-et-T, "Un Chemin historique et Touristique en Ile de France", association qui à pour but de répertorier, de faire connaitre et faire découvrir les Châteaux de la région Francilienne, qu'ils soient construits, détruits, démolis ou encore existants sous forme de vestiges ou de ruines. L'association, possède aussi des documents sur les villes royales, seigneuriales et ce qui touche aux châteaux, à l'art.
Globe couronné et cornes d'abondance |
La France et la religion soutenant les armes de la France |
La couleur étatique et personnel des rois se voit, se ressent au travers différentes choses, les emblèmes, les symboles figurant sur les façades de châteaux royaux, à l'intérieur des châteaux par le biais de sa décoration intérieur, l'ornementation, par le biais des choix de figurines, d'objets personnels, etc.....
Cette couleur dépeint les traits et les attraits d'une époque, d'une stylistique, d'un style bien distinct, qui apporte, qui fait naître, qui apprend, qui fait voir.... Chaque époque acquière son style, sa "forme" bien à elle, son enchevêtrement de choses, sa pensée, sa logique, sa façon, etc... Tout ceci reste pour longtemps gravé sur les bâtiments par exemple, dans les livres bien entendu, dans les mémoires évidemment ... Chaque roi apporte son attrait personnel, sa touche, sa patte personnelle, chacun bâti...
Cette couleur se retrouve sur les façades des châteaux, des bâtiments, couleur que nous allons voir maintenant..
- Insigne du pouvoir et usages de cour à Versailles sous Louis XIV
http://crcv.revues.org/132
Nos souverains, tout au moins les rois de l’Ancien Régime, étaient vêtus en civil et ornés des insignes de l’ordre du Saint‑Esprit, cordon bleu et broderie qui deviendra plaque d’argent, cette dernière apparaissant même sur leur tenue de chasse. Tous les autres chevaliers des ordres du roi (car chevaliers de Saint‑Michel et du Saint‑Esprit) étaient vêtus de même. Pour se donner un aspect guerrier, le roi allait jusqu’à se ceinturer d’une écharpe blanche, signe d’autorité depuis la fin du Moyen Âge....
http://crcv.revues.org/99
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Quand les façades de châteaux étaient peintes ;
L’architecture française à la réputation d’avoir toujours privilégié la mise en œuvre de matériaux laissés dans leur état naturel. Ainsi, la pierre ou la brique, comme l’ardoise ou la tuile, semblent avoir gouverné à elles seules la polychromie extérieure des bâtiments anciens, en cantonnant la peinture au rôle mineur de protection des ferrures ou des menuiseries. Il est certain que cette définition correspond à quelques monuments de l’époque classique, et en particulier aux églises construites par Jules Hardouin-Mansart, dont les parements de pierre furent soumis à une réalisation très minutieuse, destinée à mettre en valeur le matériau lui-même...
L’architecture française à la réputation d’avoir toujours privilégié la mise en œuvre de matériaux laissés dans leur état naturel. Ainsi, la pierre ou la brique, comme l’ardoise ou la tuile, semblent avoir gouverné à elles seules la polychromie extérieure des bâtiments anciens, en cantonnant la peinture au rôle mineur de protection des ferrures ou des menuiseries. Il est certain que cette définition correspond à quelques monuments de l’époque classique, et en particulier aux églises construites par Jules Hardouin-Mansart, dont les parements de pierre furent soumis à une réalisation très minutieuse, destinée à mettre en valeur le matériau lui-même...
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L'ameublement du salon d'Apollon XVII-XVIII ième Siécle ;
Louis XIV fixa à Versailles sa résidence le 6 mai 1682 : les nombreux travaux qu’il avait entrepris auparavant laissaient présager cette installation qui semblait irrévocable. Les Grands Appartements, tels qu’ils existent aujourd’hui, sont situés au premier étage de l’« enveloppe » de pierre élevée autour du vieux château de brique et ardoise de Louis XIII. Celui-ci fut bâti en 1626, puis agrandi au début des années 1630. Vers la fin de 1668, Louis XIV décida d’agrandir ce château devenu trop exigu.
Louis XIV fixa à Versailles sa résidence le 6 mai 1682 : les nombreux travaux qu’il avait entrepris auparavant laissaient présager cette installation qui semblait irrévocable. Les Grands Appartements, tels qu’ils existent aujourd’hui, sont situés au premier étage de l’« enveloppe » de pierre élevée autour du vieux château de brique et ardoise de Louis XIII. Celui-ci fut bâti en 1626, puis agrandi au début des années 1630. Vers la fin de 1668, Louis XIV décida d’agrandir ce château devenu trop exigu.
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La salle des gardes dans les résidences royales Françaises ;
Dans l’imaginaire collectif, la salle des gardes d’un château évoque la salle d’un roi médiéval, remplie d’armes et de soldats. Le terme «salle des gardes» est pourtant récent, puisqu’on ne le rencontre pas avant la première moitié du xviiième siècle. Jusqu’au xvi ième siècle au moins, la première pièce du logis royal dans laquelle on pénètre après l’escalier est la «salle», vaste pièce polyvalente qui pouvait accueillir, entre autres, des gardes. L’évolution de cette pièce fut progressive, et nous serions bien en peine d’en donner une chronologie précise.
Dans l’imaginaire collectif, la salle des gardes d’un château évoque la salle d’un roi médiéval, remplie d’armes et de soldats. Le terme «salle des gardes» est pourtant récent, puisqu’on ne le rencontre pas avant la première moitié du xviiième siècle. Jusqu’au xvi ième siècle au moins, la première pièce du logis royal dans laquelle on pénètre après l’escalier est la «salle», vaste pièce polyvalente qui pouvait accueillir, entre autres, des gardes. L’évolution de cette pièce fut progressive, et nous serions bien en peine d’en donner une chronologie précise.
http://crcv.revues.org/12083#text
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La couleur des menuiseries, méthodes et résultats pratique ;
C’est dans l’agglomération stéphanoise, vouée à l’industrie du fer et plus précisément à l’armurerie, que s’épanouit, dans un contexte très particulier, ce fleuron entre mille de la «clincaille» locale: la «;fenêtre à la française;». Ce nouveau modèle d’ouverture succède au système à meneaux et croisillons. Il en conserve l’ossature structurée en croix (d’où le terme de «croisée»). Ces croisées, comme leurs volets extérieurs ou intérieurs, s’articulent en fonction de leur poids et de leur hauteur sur des charnières ou «fiches» adaptées en nombre et en dimensions.
C’est dans l’agglomération stéphanoise, vouée à l’industrie du fer et plus précisément à l’armurerie, que s’épanouit, dans un contexte très particulier, ce fleuron entre mille de la «clincaille» locale: la «;fenêtre à la française;». Ce nouveau modèle d’ouverture succède au système à meneaux et croisillons. Il en conserve l’ossature structurée en croix (d’où le terme de «croisée»). Ces croisées, comme leurs volets extérieurs ou intérieurs, s’articulent en fonction de leur poids et de leur hauteur sur des charnières ou «fiches» adaptées en nombre et en dimensions.
http://crcv.revues.org/1903
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Les Marbriers des bâtiments des rois ;
Matériau noble, symbole de beauté, de pouvoir et d’éternité, le marbre est sous l’Ancien Régime, et particulièrement sous le règne de Louis XIV et la Régence, un matériau royal. Toutes les maisons royales reçoivent pavements, lambris et cheminées réalisés dans des marbres aux couleurs vives, provenant pour la plupart de carrières du royaume. Leur origine répond ainsi à la politique royale du marbre français que les directeurs des Bâtiments du roi s’efforcent de mettre en place et de consolider.
Matériau noble, symbole de beauté, de pouvoir et d’éternité, le marbre est sous l’Ancien Régime, et particulièrement sous le règne de Louis XIV et la Régence, un matériau royal. Toutes les maisons royales reçoivent pavements, lambris et cheminées réalisés dans des marbres aux couleurs vives, provenant pour la plupart de carrières du royaume. Leur origine répond ainsi à la politique royale du marbre français que les directeurs des Bâtiments du roi s’efforcent de mettre en place et de consolider.
http://crcv.revues.org/11997
Les trois personnages clés de cette époque, personnages qui ont permis de mettre en place, de créer une méthodologie, des règles une approche, une vision de l'art royale, de l'architecture en général, qu'elle soit quotidienne, paysagiste ou militaire;
Jules-Hardouin Mansart:
http://fr.structurae.de/persons/data/index.cfm?id=d001551
André Le Notre:
http://www.lenotre.culture.gouv.fr/index.html
Sébastien Le Preste de Vauban:
http://www.vaubanecomusee.org/vauban_son_siecle.htm
La sculpture baroque, recèle bien des ensembles de figures prirent une importance nouvelle, il y eut un mouvement dynamique et une énergie portée par les formes humaines – elles s’enroulent en volutes autour d’un tourbillon central, ou atteignent vers l’extérieur les espaces alentour. À ce titre L'Annonciation (1603-1608) de Francesco Mochi, pour la cathédrale d'Orvieto, représente l'un des tout premiers exemples du genre 6
- Quelques noms de Sculpteurs des rois:
Ω Louis-Simon Boizot, Sculpteur du roi et directeur de l'atelier de Sculpture du roi
Louis-Simon Boizot, dit Louis Boizot, né à Paris le 9 octobre 1743, mort dans cette ville le 10 mars 1809, âgé de 66 ans, est un sculpteur français,Prix de Rome en 1762.
Ω Nicolas Coustou, Sculpteur du roi
Sculpteur français (né à Lyon le 9 janvier 1658, décédé à Paris le 1er
mai 1733), fils du sculpteur François Coustou, Nicolas Coustou suit d’abord l’enseignement de son père.
Ω Antoine Coysevox, Sculpteur du roi
Sculpteur français (né à Lyon (Rhône) en septembre 1640, décédé le 10 octobre 1710), Coysevox suit l’enseignement de Louis Lerambert, à Paris à partir de 1657-1758.
Sculpteur français (né à Lyon (Rhône) en septembre 1640, décédé le 10 octobre 1710), Coysevox suit l’enseignement de Louis Lerambert, à Paris à partir de 1657-1758.
Son nom de naissance est Quoyzeveau et il le change en Coysevox, vers 1670.
Ω Louis Pierre Deseine, Sculpteur et écrivain
Né à Paris le 20 juillet 1749, mort dans cette ville le 11 octobre 1822 (Ec. Fr.). Sculpteur du prince de Condé.
Ω Pierre Francqueville, Premier Sculpteur du roi
Sculpteur, architecte et peintre français (né à Cambrai (Nord) en 1548, décédé à Paris le 25 août 1615), Pierre Franqueville étudie d’abord le dessin à Paris, puis s’exile en Allemagne pendant cinq années pour se former à la sculpture du bois. Logéau Louvre, il recevra commande d'oeuvres officielles comme le David vainqueur de Goliath.
http://www.wikiphidias.fr/index.php?option=com_content&view=article&id=284:franqueville-pierre&catid=34:biographie&Itemid=53
http://www.wikiphidias.fr/index.php?option=com_content&view=article&id=284:franqueville-pierre&catid=34:biographie&Itemid=53
Ω Pierre Julien, Sculpteur du roi
Après
un apprentissage au Puy chez un maître sculpteur, puis à l'école
de dessin de Lyon, Pierre Julien entre dans l'atelier deGuillaume II Coustou.
Obtenant un premier prix de sculpture en 1765, il entre ensuite à l'école Royale des élèves protégés.
Pensionnaire de l'Académie de France à Rome de 1768 à 1773,il y rencontre[Lequel ?]et François Boucher.
Rentré en France, il travaille sous la direction de son ancien maître Coustou au mausolée du Grand Dauphin à la cathédrale Saint-Étienne de Sens.
Ω Germain Pillon, Sculpteur du roi
http://bibnum.enc.sorbonne.fr/gsdl/collect/tap/archives/HASH012c/492355ba.dir/0000005776535.pdf
Rentré en France, il travaille sous la direction de son ancien maître Coustou au mausolée du Grand Dauphin à la cathédrale Saint-Étienne de Sens.
Ω Augustin
Pajou, Sculpteur du roi
Augustin Pajou est l'un des sculpteurs les plus importants de la seconde moitié du XVIIIe siècle français. Portraitiste subtil, il est à l’aise dans les pièces de petites dimensions comme dans les sculptures monumentales. À travers son œuvre, ses nombreux commanditaires et ses liens avec l'architecture, tous les aspects de
ce demi-siècle sont évoqués et la personnalité de Pajou savamment restituée.
Ω Germain Pillon, Sculpteur du roi
http://bibnum.enc.sorbonne.fr/gsdl/collect/tap/archives/HASH012c/492355ba.dir/0000005776535.pdf
Ω François Roumier, sculpteur des bâtiments des rois
Né probablement dans le Nivernais vers 1690, François Roumier est connu comme maître sculpteur en 1716.En 1720, il est mentionné pour la première fois dans les comptes des bâtiments du Roi. En 1721, il est nommé « sculpteur du roi ».Il travailla pour les demeures royales de la Muette, du Louvre, de Versailles, Marly et Fontainebleau.Ses premières interventions à Versailles datent de 1722, année du retour de Louis XV au château.Son activité pour les bâtiments du roi dura une dizaine d'années, de 1720 à 1730.Après cette date, il ne livrera plus que du mobilier pour le Garde-Meuble de la Couronne.
http://www.connaissancesdeversailles.org/t2197-francois-roumier-sculpteur-du-roi
De 1610 à 1627, Jacques Sarrazin se forme à Rome sous la direction du sculpteur sur bois français,Jean Languille et fréquente des artistes baroques tels que le peintre bolonais Zampieri dit le Dominiquin et le sculpteur flamand François Duquesnoy.
Ω Jacques Sarazin, Sculpteur du roi
Né à Louvres-en-Parisis vers 1568 et mort en 1629, est un sculpteur français du début du XVIIe siècle.
Actif durant les règnes de Henri IV (dont il réalisa la statue en pied visible au château de Pau) et de Louis XIII, il travailla à Fontainebleau et au Louvre.
Ω Martin Vanden Baugard des jardins, Sculpteur du roi
Martin van den Bogaert dit ; Martin Desjardins, né en 1637 à Bréda aux Pays-Bas le 2 mai 1694 à Paris, est un sculpteur français d'origine néerlandaise.
L'art au service des rois, l'art apporté aux rois, à permis de faire émerger des personnages comme Lully, Molière, Perrault, Racine, Le Vau, etc... Cet engouement royal pour l'art a amener progressivement l'art à suivre son chemin vers le peuple, vers tout à chacun, par le biais bien évidemment de ses artistes, tel Molière par exemple. L' on peut dire que l'art a vraiment pris ses racines sous Louis XIV, l'art tel qu'on le connait actuellement, c'est à dire le théâtre, la danse, la musique, la peinture,....
Et bien évidement, il a exceller au travers l'architecture, la sculpture, les arts décoratif , l'architecture d'intérieur, pour créer et réaliser ce que le roi voulait pour lui, son royaume, pour protéger, faire vivre et construire un pays.
http://fr.maieutapedia.org/wiki/Artistes_de_France_au_temps_du_Roi_Soleil
* L'art au service des rois:
http://unipoplyon.fr/core/wp-content/uploads/2011/11/VERSAILLES.pdf
http://www.site-du-jour.com/dossiers/louis-xiv.html
* Les arts éphémères
http://www.frichtiweb.com/files/1303858962plan_les_arts___ph__m__res.pdf
* Des bibliothèques virtuelles humanistes
http://www.bvh.univ-tours.fr/ImgNotice.asp?IdImg=B372615206_4781-81http://www.frichtiweb.com/files/1303858962plan_les_arts___ph__m__res.pdf
* Des bibliothèques virtuelles humanistes
* Le patrimoine à l'air numérique
http://www.connaissancedesarts.com/archi-jardin-patrimoine/actus/le-patrimoine-a-l-ere-numerique-102991.php
* Quand Napoléon bâtissait le grand Louvre
Enregistrement audio de la communication au colloque « Marly : architecture, usages et diffusion d’un modèle français », jeudi 31 mai 2012 à Versailles, Les Vitry : une dynastie de fontainiers du roi au service des Grandes Eaux de Marly :
http://crcv.revues.org/11912
* Marc-Antoine Charpentier
Marc-Antoine Charpentier, né à Paris en 1643 et mort à Paris le 24 février 1704, est un compositeur, chanteur baroque français. Il se rend en Italie (selon une légende, pour faire des études d'architecture), mais il tombe sous l'influence du compositeur Giacomo Carissimi. Il restera marqué par le style italien et sera le seul avec Jean-Joseph Cassanéa de Mondonville en France à aborder l'oratorio. En 1672 Molière se brouilla avec Jean-Baptiste Lully. Il proposa à Charpentier de remplacer ce dernier pour composer la musique de ses comédies-Ballets au Théâtre-Français. C'est ainsi que Charpentier composa de la musique pour les entractes de Circé et d'Andromède, ainsi que des scènes chantées dans le Mariage forcé, puis le Malade imaginaire.
Sa vie;
http://fr.wikipedia.org/wiki/Marc-Antoine_Charpentier
Son oeuvre;
http://www.charpentier.culture.fr/fr/html/audi/index.htm
* François Couperin
François Couperin, surnommé « le Grand », né le 10 Novembre 1668 à Paris, et mort le 11 septembre 1733 à Paris,est un compositeur, organiste et claveciniste réputé. Héritier d'une longue tradition familiale illustrée avant lui, notamment, par son oncle, Louis couperin, et qui le sera encore par d'autres membres, tels Marc-Roger Normand et Armand-Louis Couperin, François Couperin reste le plus illustre membre de la famille. Organiste titulaire de la prestigieuse tribune de l'orgue de l'église parisienne de Saint Gervais et d'un quartier (trimestre) de la Chapelle Royale, François Couperin cumule des fonctions, exercées avec discrétion et modestie, à la Cour de Louis XIV et une carrière de compositeur et de professeur de clavecin très recherché.
Sa vie;
http://fr.wikipedia.org/wiki/Fran%C3%A7ois_Couperin
Son oeuvre;
http://www.musicologie.org/Biographies/c/couperin_francois_2.html
* Henry Desmarest
Henry Desmarest est un musicien-compositeur français de l'époque baroque, né à Paris en février 1661 et mort à Lunéville le 7 Septembre 1741.Talentueux et précoce, promis à une brillante carrière au service de Louis XIV, son destin fut bouleversé par un fait divers le contraignant à l'exil pendant plus de 20 ans. Dans le paysage musical français de l'époque, sa musique se distingue particulièrement par les multiples influences étrangères que ses pérégrinations à travers l'Europe ont permise. La sensibilité et la virtuosité de ses œuvres en font un des compositeurs les plus remarquable de sa génération.
Sa vie;
http://fr.wikipedia.org/wiki/Henry_Desmarest
Son oeuvre;
http://www.musicologie.org/Biographies/d/desmarets_henry.html
* Jean-Féry Rebel
Jean-Féry Rebel ou Jean Ferry rebel est né le 18 Avril 1666 et mort le 02 Janvier 1747 , est un violoniste et compositeur français de l'époque baroque. Il était fils d'un chanteur Jean Rebel et d'Anne Nolson, et fut remarqué pour ses dons, dès huit ans, par Lully, auquel il doit sa formation. Sa sœur aînée Anne Rebel (1663-1722)2, chanteuse, épousa le compositeur Michel-Richard Delalande. En 1705, il fut recruté parmi les Vingt-quatre Violons du Roi. Il devint plus tard maître de musique à l'Académie royale de Musique en 1716, puis compositeur de la Chambre du roi en 1726, et enfin maître de musique de l'Académie Française en 1742 (évinçant de ce poste Louis-Antoine Dornel).
Sa vie;
http://fr.wikipedia.org/wiki/Jean-F%C3%A9ry_Rebel
Son oeuvre;
http://www.musicologie.org/Biographies/r/rebel_jean_fery.html
* Jehan Titelouze
Jehan Titelouze (ou Jean Titelouze), né à Saint-Omer sans doute en 1563, mort à Rouen le 25 octobre 1633, organiste, compositeur français. Il est considéré comme le fondateur (ou le père) de l’école française d’orgue. Son père était ménétrier, lui-même arriva à Rouen vers l’âge de vingt ans et devait y demeurer pendant le restant de sa vie. Il devint organiste de l’église Saint-Jean en 1585, puis titulaire du grand-orgue de la cathédrale Notre-Dame en 1588. Celui-ci était à cette époque un des instruments les plus considérables du royaume, ce qui laisse à penser le talent de ce musicien de 25 ans.
Sa vie;
http://fr.wikipedia.org/wiki/Jehan_Titelouze
Son oeuvre;
http://www.musimem.com/Jehan_Titelouze.htm
Expositions virtuelles;
Les gemmes de Louis XIV
http://mini-site.louvre.fr/gemmes_louis_14/
Jeu d'argent, pouvoirs et société au temps des lumières
http://expositions.bnf.fr/jeux/arret/04.htm
Paris 1400, les Arts sous Charles VI
http://mini-site.louvre.fr/paris1400/paris1400/
Parcours d'objets http://www.ecomusee-creusot-montceau.fr/parcours_objets/
Un livre à Feuilleter;
Code des ordres de Chevalerie du royaume dédiés au roi
http://books.google.fr/books?id=BfJBAAAAcAAJ&printsec=frontcover&dq=roi&hl=fr&sa=X&ei=IiRLUqHWFaOn0QXQyoDYBA&ved=0CEcQ6AEwBDiCAQ#v=onepage&q=roi&f=falseCode des ordres de Chevalerie du royaume dédiés au roi
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