dimanche 28 octobre 2012

Exposition: Les châteaux, le bestiaire, les légendes...



Ce blog est un espace dédié aux expositions, il fait parti de l'association Ch-et-T, "Un Chemin historique et Touristique en Ile de France", association qui à pour but de répertorier, de faire connaitre et faire découvrir les Châteaux de la région Francilienne, qu'ils soient construits, détruits, démolis ou encore existants sous forme de vestiges ou de ruines. L'association,  possède aussi des documents sur les villes royales, seigneuriales et ce qui touche aux châteaux, à l'art.















Le bestiaire au moyen-âge, une faune symbolique Chrétienne
Au Moyen Âge, les animaux réels ou légendaires sont partout : sculptés dans la pierre des églises, tissés par les fils des tapisseries, décrits et peints dans les manuscrits ornés d’une faune qui déborde jusque dans les marges enluminées des livres de prière. Ces représentations rendent grâce à la puissance et à la gloire de Dieu. L’art est conçu comme un enseignement religieux, les animaux constituant des symboles à décrypter.
La symbolique du bestiaire médiéval tire sa source de multiples références à l’Ancien et au Nouveau Testament. Animaux exotiques ou fantastiques et parfois familiers sont interprétés en fonction de la leçon dogmatique ou morale qu’on veut en tirer. Les exemples du bien sont généralement le lion, la panthère, la licorne, le cerf, l’aigle, le pélican, le phénix ; ils symbolisent tous le Christ. La fourmi, la sirène, l’autruche, la colombe, la salamandre symbolisent le bon chrétien, tandis que le crocodile, le dragon, le loup, l’ours, le renard, l’âne sauvage (onagre), le singe représentent le mal et figurent le diable.
Mais ces symboles peuvent varier selon le contexte, ainsi le lion a une image tantôt positive,
tantôt négative.
Barthélemy l’Anglais
Livre des propriétés
des choses
Marche, 1480





 

Représentation des animaux dans l'art médiéval occidental


Créature légendaire









Le Château de Meudon, son évolution jusqu'à sa destruction...


A partir de 1553, le cardinal de Lorraine, Charles de Guise, agrandit le petit château de Meudon commencé en 1520 par le cardinal Antoine Sanguin.

Il accroît le domaine, le dote de jardins et de fabriques comme la très célèbre "Grotte" due à l'architecte italien Le Primatice : il s’agit d'une structure en terrasses abritant des salles ornées de rocailles et portant trois pavillons. 



Depuis 1397, mention est faite d’un château seigneurial sur la colline de Meudon.
Au début du XVIe siècle il appartient au cardinal Antoine Sanguin qui est, semble-t-il, à l’origine de la construction du nouveau manoir. En 1527, il donne le domaine à sa nièce, Anne de Pisseleu, duchesse d’Etampes maitresse de François Ier. Elle fait achever les travaux et tracer un petit parc. Le roi y séjourna souvent et il y est la veille de sa mort, le 19 mars 1547.
En 1552, Anne vend Meudon, sans doute contre son gré, à Charles de Guise, cardinal Lorraine qui entreprend de considérables embellissements. Il esquisse la terrasse et un parc d’agrément.
En 1654, Abel Servien surintendant des finances du royaume rachète le domaine de Meudon, il rénove le château, fait remanier la façade sur  et crée la terrasse formant avant cour du château vers le nord. Il acquiert de nombreuses terres pour agrandir le parc et, en contrebas de la terrasse, construit une orangerie surmontée d’une loggia.





 

 L’âge d’or tourangeau



Musée des beaux-arts de Tours



Des expositions à la Bnf:






La légende dorée de l'histoire de France, la légende des origines






La ville au XIIIième Siècle










Le bestiaire médiéval









2000 ans de création de l'antiquité à....



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