Ce blog est un espace dédié aux expositions, il fait parti de l'association Ch-et-T, "Un Chemin historique et Touristique en Ile de France", association qui à pour but de répertorier, de faire connaitre et faire découvrir les Châteaux de la région Francilienne, qu'ils soient construits, détruits, démolis ou encore existants sous forme de vestiges ou de ruines. L'association, possède aussi des documents sur les villes royales, seigneuriales et ce qui touche aux châteaux, à l'art.
Les mythes, dieux.....
La mythologie est désacralisée dans la culture, déguisée par les clercs à travers les exégèses historiques, allégoriques, physiques et morales qu'ils font déjà des Anciens. Mais la tradition figurative est assurée :
- sarcophages transformés en autels ;
- fragments sculptés réutilisés dans les églises ;
- formes et motifs copiés, puis remaniés, déguisés et évoluants, bien vivants donc ;
- l'enlèvement de Déjanire
sur un portail de Chartres.
Dédale, Héraclès, Orphée, héros civilisateurs, sont présents à côté des prophètes, au Campanile de Giotto, à Florence. L'identification des dieux aux astres, devenue astrologique sous l'influence des cultes orientaux, trouve des renforts au XIIe siècle dans la science arabe. Des manuels enseignent comment conjurer l'influence des puissances célestes, et les gemmes gravées à l'image des dieux ont l'efficacité de talismans.
La fête de Noël au moyen-âge
Comme les principales fêtes chrétiennes, Noël coïncide avec une grande date astronomique dont l'incidence agit directement sur la vie paysanne.
Noël, du latin ecclésiastique dies natalis, "jour de naissance", célébrait primitivement le solstice d'hiver. On envisagea dès le IVe siècle le 25 décembre, jour le plus court de l'année, pour célébrer la naissance du Christ. On sacrifiait alors à cette occasion les porcs et l'on finissait de battre le grain rentré en gerbe.
Comme pour Pâques ou la Pentecôte, cette fête impliquait une période de jeûne : l'Avent. Il durait depuis la Saint-Martin (c'est-à-dire le 11 novembre) avant d'être ramené à l'octave (dérivé du latin octavus, huitième) c'est-à-dire la période de huit jours qui précède Noël.
Cette période, la plus joyeuse d'entre toutes,
entraînait au Moyen Age maints préparatifs : la maison était
décorée de houx et de verdure, les anciens vêtements faisaient
place aux habits neufs et la messe célébrée en pleine nuit était
suivie de nombreuses réjouissances (divers jeux de hasard ou
d'adresse, chants et danses) et de copieux repas.
http://www.citadelle.org/articles-44-La-f%C3%AAte-de-Noel-et-ses-preparatifs-au-Moyen-Age.cfm
Le
28 décembre : fête des Innocents.
Les écoliers et les enfants, en particulier, célébraient la fête des Innocents, ces garçons nouveau-nés massacrés en Judée sur ordre du roi Hérode, qui espérait faire périr parmi eux l'Enfant Jésus1. C'était donc par excellence la fête des "Enfants" à qui l'on permettait et pardonnait tout. Toute violence était également prohibée ce jour-là, les chevaliers devaient cesser de guerroyer en observant une trêve.
Les écoliers et les enfants, en particulier, célébraient la fête des Innocents, ces garçons nouveau-nés massacrés en Judée sur ordre du roi Hérode, qui espérait faire périr parmi eux l'Enfant Jésus1. C'était donc par excellence la fête des "Enfants" à qui l'on permettait et pardonnait tout. Toute violence était également prohibée ce jour-là, les chevaliers devaient cesser de guerroyer en observant une trêve.
"Le 29 décembre, selon
l'usage du pays, à l'abbaye de Saint-Césaire, l'abbesse folle
offrait à son compère six gros en argent, "une bonne galine
ben grasse", six pains de fleur de froment, etc., six pechié de
vin, de la mesure del moustiers, et du bois pour faire du feu au
réfectoire. Ce qu'il y avait de plus curieux, dans le branlebas
sacerdotal était interpreté par les femmes. Le
jour des saints Innocents, l'élection d'une abbesse
folle et d'une petite abbesse, qui usurpaient la crosse et la place
de l'abbesse légitime amenaient les plus piquantes perturbations.
Les religieuses remplaçaient les chantres au lutrin, portant sur le
nez des lunettes dont les verres étaient remplacés par des écorces
d'oranges, vêtues d'habits grotesques, encensant l'autel avec de
vieux cuirs enflammés, jouant aux dés, et mangeant des boudins dans
l'église. Une citation de l'époque en offre la preuve : Nimia
jocositate et scurrilibus cantibus utebantur, utpote farsis,
conductis, motulis, etc."
Les triomphes de l'Abbaye des conards : avec une notice sur la fête des fous, 1874
Les triomphes de l'Abbaye des conards : avec une notice sur la fête des fous, 1874
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Sur
le site Chateaux celtes et chimères retrouvez des contes et des
légendes
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le site de l'Académie de versailles retrouvez le Centaure
Ciel et terre
La gastronomie médiévale
Mini expo au louvre,
Paris 1400, les arts sous Charles VI
Chiffres
royaux, emblèmes impériaux et lettres républicaines du Louvre
Receuil d'horlogiographie datant de 1561, contenant la description, la fabrication et l'usage des horloges solaire
Par Jean Bullant,
Architecte de Haut et puissant seigneur, monseigneur le Duc de Montmorency,
pair et connétable de France.
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